Helfen Sie uns, für ein transparentes Pestizidregister zu kämpfen?
Pestizide haben in unserer Umwelt nichts zu suchen. Sie gefährden sowohl die Artenvielfalt als auch die Gesundheit von uns Menschen. Durch unsere jahrelange Arbeit ist diese Erkenntnis endlich auch in der Politik angelangt, die mittlerweile verspricht, den Einsatz der Ackergifte in der Landwirtschaft zu begrenzen.
Das Problem ist nur: Niemand weiß genau, wie viele Pestizide überhaupt eingesetzt werden, geschweige denn wann und wo! Zwar sind alle landwirtschaftlichen Betriebe in der EU bereits seit mehr als zehn Jahren gesetzlich dazu verpflichtet, ihre Pestizideinsätze zu dokumentieren. Doch diese Aufzeichnungen werden weder umfassend kontrolliert noch zentral gesammelt oder gar veröffentlicht.
Laut Koalitionsvertrag sollte sich dieser Zustand bald ändern: Denn die Ampelregierung hat sich darauf verständigt, ein zentrales Register zur Erfassung der Pestizideinsätze einzuführen. Jüngste Äußerungen aus dem Landwirtschaftsministerium zeigen nun allerdings: Die Einführung eines solchen Registers könnte bis Anfang 2025 verschleppt werden!
Wie dringend es ein zentrales, elektronisches Pestizidregister braucht, stellten wir fest, als wir die Spritzhefte aus dem Südtiroler Apfelanbau zu Gesicht bekamen: Mal digital geführt, mal auf Papier, zum Teil in unleserlicher Handschrift, mit uneindeutigen Ortsbezeichnungen oder ganz fehlenden Angaben – so sieht die Dokumentation der Pestizideinsätze aktuell aus. Diese chaotische Aufzeichnungspraxis macht es enorm schwierig, nachzuvollziehen, welche Pestizide wo genau und in welcher Menge in unserer Umwelt landen.
Daher bekam unsere Forderung nach einem öffentlich zugänglichen Pestizidregister auch Rückenwind aus der Wissenschaft: Renommierte Professor:innen aus verschiedenen Fachgebieten betonten im Rahmen unserer Kampagne, wie dringend sie ein solches Register brauchen, um ihrer Arbeit nachgehen zu können. Mit Fachgesprächen, Aktionen und Gutachten wollen wir jetzt dafür sorgen, dass die deutsche Bundesregierung das nicht weiter auf die lange Bank schiebt!
Die Informationen über Pestizideinsätze unterliegen dem Umweltinformationsgesetz und stehen somit uns allen zu. Wir wollen dafür sorgen, dass aus diesem Recht auch Realität wird. Unterstützen Sie uns dabei!
Will you help us fight for a transparent pesticide register?
Pesticides have no place in our environment. They endanger both biodiversity and human health. Thanks to our many years of work, this knowledge has finally reached politics, which has now promised to limit the use of field toxins in agriculture.
The only problem is: Nobody knows exactly how many pesticides are being used, let alone when and where! All farms in the EU have been legally obliged to document their use of pesticides for more than ten years. But these records are neither comprehensively controlled nor collected centrally or even published.
According to the coalition agreement, this situation should change soon: because the coalition government has agreed to introduce a central register to record the use of pesticides. However, the latest statements from the Ministry of Agriculture now show that the introduction of such a register could be delayed until the beginning of 2025!
We realized how urgently a central, electronic register of pesticides was needed when we saw the spraying booklets from South Tyrolean apple cultivation: sometimes digital, sometimes on paper, sometimes in illegible handwriting, with ambiguous place names or completely missing information – that’s what the documentation of the use of pesticides looks like right now. This chaotic recording practice makes it extremely difficult to trace which pesticides end up in our environment, where and in what quantities.
Therefore, our demand for a publicly accessible register of pesticides also received tailwind from science: as part of our campaign, renowned professors from various disciplines emphasized how urgently they need such a register in order to be able to do their work. With expert talks, campaigns, and expert opinions, we now want to ensure that the German federal government does not continue to procrastinate!
Information about the use of pesticides is subject to the Environmental Information Act and we are all entitled to it. We want to ensure that this right becomes reality. Support us in this endeavour!
Dies ist ein längerer Text, weil der Beitrag dreisprachig erscheint. Der Originaltext ist auf Französisch und dann folgt Deutsch und – last but not least – Englisch. Im französischen Text sind einige Links zur POLLINIS Webseite. Ich habe sie nicht in die anderen Versionen eingebaut, weil die Seite nur auf Französisch ist.
… This is a longer text, because the post is published in three languages. The original is in French, followed by German, and – last but not least – English. There are some links to the POLLINIS website in the French text. I did not incorporate them in the other versions, because the site exists in French only.
Foto: Pixabay – Michael Reichelt – Mirey2222
FRENCH
C’est un combat de longue haleine qui vient d’aboutir à une victoire historique pour la démocratie et la transparence des procédures législatives en Europe !
Mercredi 14 septembre, le Tribunal de l’Union européenne a tranché en faveur de POLLINIS dans le procès qui l’oppose à la Commission européenne…
… pour accéder aux informations gardées secrètes par les autorités européennes sur l’influence des lobbys dans le rejet des protocoles scientifiques mesurant la toxicité réelle des pesticides sur les pollinisateurs, avant leur mise sur le marché.
4 ans de combat. Depuis 4 ans, POLLINIS exige de la Commission européenne la pleine transparence sur les tractations qui ont mené au blocage scandaleux des « tests abeilles ». Ces protocoles d’homologation des pesticides, élaborés en 2013 par des scientifiques indépendants, auraient permis d’empêcher la commercialisation de centaines de substances toxiques pour les abeilles et les pollinisateurs depuis 9 ans déjà… s’ils n’avaient pas été systématiquement rejetés par le Scopaff – le comité d’experts chargé des négociations, réunissant des représentants des États membres et de la Commission européenne. Cette trahison de l’intérêt général a permis à quelques conglomérats agro-industriels d’écouler pendant des années des pesticides dévastateurs pour l’environnement et la biodiversité, sans qu’aucune information ne filtre sur la teneur des délibérations, la position réelle des États membres, ou l’implication des puissants réseaux de lobbyistes.
Obstruction illégale. Pour mettre en lumière ce scandale, et comprendre le rôle des multinationales dans ces délibérations cruciales pour enrayer l’extinction des abeilles et des pollinisateurs, POLLINIS a déposé dès le mois de septembre 2018 une requête à la Commission européenne pour obtenir l’accès aux correspondances, aux ordres du jour, et aux compte-rendus du Scopaff. Sans succès. L’association a donc saisi la médiatrice européenne Emily O’Reilly pour dénoncer l’obstruction illégale de la Commission, et son manquement flagrant aux principes de transparence de l’Union européenne qui obligent Bruxelles à garantir l’accès des citoyens aux documents administratifs. Malgré son soutien public et appuyé, rien n’a changé : POLLINIS a réitéré sa demande en janvier 2020 et s’est une nouvelle fois confronté au refus obstiné de la Commission. Le 15 juin 2020, POLLINIS a donc décidé de poursuivre le combat devant le Tribunal de l’Union européenne, qui vient de délibérer en sa faveur.
Décision salutaire. Dans un arrêt du 14 septembre 2022, les juges européens ont démonté un à un les arguments fallacieux de l’exécutif européen pour soustraire aux citoyens des informations capitales sur la protection des abeilles, et annulé les deux décisions de refus de la Commission européenne attaquées par POLLINIS. Les motifs invoqués par la Commission, comme la confidentialité de la position des États membres dans les procédures de comitologie, ou encore le risque d’une atteinte grave à un processus décisionnel en cours, ont été fermement écartés par les juges, qui ont estimé que rien ne justifiait l’attitude de la Commission. POLLINIS obtient donc, après 4 années de combat acharné, la reconnaissance de son action indispensable pour informer les citoyens européens sur l’intolérable blocage des « tests abeilles », et la fin de l’opacité qui règne sur les procédures décisionnelles européennes, qui ont permis aux lobbys d’imposer pendant des années leurs pesticides tueurs d’abeilles.
Un grand merci à tous les citoyens qui sont à nos côtés dans ce combat, et permettent à POLLINIS de remporter des victoires décisives contre l’opacité des processus décisionnels européens et les puissants lobbys de l’agrochimie ! Grâce à vous et à tous ceux qui soutiennent financièrement POLLINIS et rendent possible ce type de combat juridique de longue haleine, nous allons poursuivre de toutes nos forces la lutte pour que la toxicité des pesticides sur les abeilles et les pollinisateurs soit réellement évaluée, et que les multinationales ne puissent plus imposer leurs pesticides dévastateurs.
Pour soutenir tous les combats à venir, que nous souhaitons mener jusqu’à la victoire, contre les pesticides tueurs d’abeilles et le modèle agricole dominant, s’il vous plaît, faites un don à POLLINIS en cliquant ici :
Es ist ein langjähriger Kampf, der gerade zu einem historischen Sieg für die Demokratie und die Transparenz der Gesetzgebungsverfahren in Europa geführt hat! Am Mittwoch, den 14. September, hat das Gericht der Europäischen Union im Rechtsstreit zwischen POLLINIS und der Europäischen Kommission zugunsten von POLLINIS entschieden… … Zugriff auf von den europäischen Behörden geheim gehaltene Informationen über den Einfluss von Lobbys bei der Ablehnung wissenschaftlicher Protokolle zur Messung der tatsächlichen Toxizität von Pestiziden für Bestäuber, bevor sie auf den Markt gebracht werden.
4 Jahre Kampf. Seit 4 Jahren fordert POLLINIS von der Europäischen Kommission volle Transparenz über die Verhandlungen, die zur skandalösen Sperrung von „Bienentests“ geführt haben. Diese 2013 von unabhängigen Wissenschaftlern entwickelten Pestizidregistrierungsprotokolle hätten die Vermarktung hunderter bienen- und bestäubertoxischer Substanzen bereits seit 9 Jahren verhindert … wenn sie nicht systematisch vom Scopaff abgelehnt worden wären – dem zuständigen Expertengremium für die Verhandlungen mit Vertretern der Mitgliedstaaten und der Europäischen Kommission. Dieser Verrat am Allgemeininteresse hat es einigen wenigen agroindustriellen Konzernen ermöglicht, über Jahre hinweg für die Umwelt und die Biodiversität verheerende Pestizide zu verkaufen, ohne jegliche Informationen über den Inhalt der Beratungen, die wirkliche Position der Mitgliedsstaaten oder die Beteiligung mächtiger Lobbyistennetzwerke.
Rechtswidrige Behinderung. Um Licht in diesen Skandal zu bringen und die Rolle multinationaler Unternehmen bei diesen entscheidenden Überlegungen zur Eindämmung des Bienen- und Bestäubersterbens zu verstehen, reichte POLLINIS im September 2018 bei der Europäischen Kommission einen Antrag auf Zugang zur Korrespondenz, zu den Tagesordnungen und zum Protokoll des Scopaff ein. Ohne Erfolg. Der Verband wandte sich daher an die Europäische Bürgerbeauftragte Emily O’Reilly, um die rechtswidrige Behinderung durch die Kommission und ihren eklatanten Verstoß gegen die Grundsätze der Transparenz der Europäischen Union anzuprangern, die Brüssel verpflichten, den Zugang der Bürger zu Verwaltungsdokumenten zu gewährleisten. Trotz öffentlicher und starker Unterstützung hat sich nichts geändert: POLLINIS wiederholte seine Forderung im Januar 2020 und sah sich erneut der hartnäckigen Ablehnung der Kommission gegenüber. POLLINIS hat daher am 15. Juni 2020 beschlossen, den Kampf vor dem Gericht der Europäischen Union fortzusetzen, das soeben zu seinen Gunsten entschieden hat.
Gesunde Entscheidung. In einem Urteil vom 14. September 2022 widerlegten die europäischen Richter nach und nach die trügerischen Argumente der europäischen Exekutive, den Bürgern entscheidende Informationen zum Schutz der Bienen vorzuenthalten, und hoben die beiden von POLLINIS angefochtenen Ablehnungsentscheidungen der Europäischen Kommission auf. Die von der Kommission angeführten Gründe wie die Vertraulichkeit des Standpunkts der Mitgliedstaaten in den Komitologieverfahren oder die Gefahr einer ernsthaften Beeinträchtigung eines laufenden Entscheidungsprozesses wurden von den Richtern entschieden zurückgewiesen, die der Ansicht waren, dass die Haltung der Kommission durch nichts begründet sei. POLLINIS erhält daher nach 4 Jahren erbitterten Kampfes die Anerkennung seiner wesentlichen Maßnahmen zur Information der europäischen Bürger über die unerträgliche Blockierung von „Bienentests“ und das Ende der Undurchsichtigkeit, die über europäische Entscheidungsverfahren herrscht, die den Lobbyisten jahrelang gestattet haben, ihre bienentötenden Pestizide durchzusetzen.
Der Kampf geht weiter. Während Brüssel sich darauf vorbereitet, neue Pestizid-Toxizitätstests zu verabschieden, die den Schutz von Honig und Wildbienen für die nächsten Jahrzehnte schwächen könnten, ist die Entscheidung des Gerichts der Europäischen Union ein klares Warnsignal an die europäischen Behörden: Die Bürger beobachten genau die Machenschaften und Kompromisse mit Lobbys und schreckrn vor nichts zurück, um Politiker dazu zu zwingen, Regeln zu erlassen, die für einen wirklichen Schutz von Bienen und Bestäubern vor den Pestiziden, die sie dezimieren, erforderlich sind.
Ein großes Dankeschön an alle Bürgerinnen und Bürger, die in diesem Kampf an unserer Seite stehen und POLLINIS entscheidende Siege gegen die Intransparenz europäischer Entscheidungsprozesse und die mächtigen Agrochemie-Lobbys erringen lassen! Dank Ihnen und allen, die POLLINIS finanziell unterstützen und diese Art von langfristigem Rechtskampf ermöglichen, werden wir mit all unserer Kraft den Kampf fortsetzen, damit die Toxizität von Pestiziden für Bienen und Bestäuber richtig bewertet wird und dass multinationale Unternehmen uns nicht länger den Einsatz ihre verheerenden Pestizide aufzwingen können.
Um alle kommenden Kämpfe gegen bienenvernichtende Pestizide und das vorherrschende Landwirtschaftsmodell zu unterstützen, und die wir gewinnen wollen, spenden Sie bitte an POLLINIS, indem Sie hier klicken:
It is a long-term fight which has just resulted in a historic victory for democracy and the transparency of legislative procedures in Europe! On Wednesday, September 14, the General Court of the European Union ruled in favor of POLLINIS in the lawsuit between it and the European Commission… … to access information kept secret by the European authorities on the influence of lobbies in the rejection of scientific protocols measuring the real toxicity of pesticides on pollinators, before they are placed on the market.
4 years of fighting. For 4 years, POLLINIS has been demanding full transparency from the European Commission on the negotiations that led to the scandalous blocking of “bee tests”. These pesticide registration protocols, developed in 2013 by independent scientists, would have prevented the marketing of hundreds of substances toxic to bees and pollinators for 9 years already… if they had not been systematically rejected by the Scopaff – the committee of experts in charge of the negotiations, bringing together representatives of the Member States and the European Commission. This betrayal of the general interest has allowed a few agro-industrial conglomerates to sell pesticides that are devastating for the environment and biodiversity for years, without any information filtering through on the content of the deliberations, the real position of the Member States, or the involvement of powerful lobbyist networks.
Unlawful obstruction. To shed light on this scandal, and to understand the role of multinationals in these crucial deliberations to halt the extinction of bees and pollinators, POLLINIS filed a request to the European Commission in September 2018 to obtain access to the correspondence, to the agendas, and to the minutes of the Scopaff. Without success. The association therefore got hold of the European Ombudsman Emily O’Reilly to denounce the Commission’s illegal obstruction, and its flagrant breach of the principles of transparency of the European Union which oblige Brussels to guarantee citizens‘ access to administrative documents. Despite its public and strong support, nothing has changed: POLLINIS reiterated its request in January 2020 and once again faced the stubborn refusal of the Commission. On June 15, 2020, POLLINIS therefore decided to continue the fight before the General Court of the European Union, which has just deliberated in its favour.
Healthy decision. In a judgment of September 14, 2022, the European judges dismantled one by one the fallacious arguments of the European executive to deprive citizens of crucial information on the protection of bees, and annulled the two refusal decisions of the European Commission challenged by POLLINIS. The reasons invoked by the Commission, such as the confidentiality of the position of the Member States in the comitology procedures, or the risk of serious damage to an ongoing decision-making process, were firmly dismissed by the judges, who considered that there was no justification for the Commission’s attitude. POLLINIS therefore obtains, after 4 years of fierce combat, the recognition of its essential action to inform European citizens about the intolerable blocking of „bee tests“, and the end of the opacity which reigns over European decision-making procedures, which have allowed lobbies to impose their bee-killing pesticides for years.
The fight goes on. As Brussels prepares to adopt new pesticide toxicity tests that could weaken the protections of honey and wild bees for the next decades, the decision of the General Court of the European Union is a clear warning signal sent to the European authorities: citizens are closely watching their shenanigans and compromises with lobbies, and will stop at nothing to force politicians to adopt the rules necessary for real protection of bees and pollinators against the pesticides that are decimating them.
A big thank you to all the citizens who are at our side in this fight, and allow POLLINIS to win decisive victories against the opacity of European decision-making processes and the powerful agrochemical lobbies! Thanks to you and to all those who financially support POLLINIS and make this type of long-term legal fight possible, we will pursue with all our strength the fight so that the toxicity of pesticides on bees and pollinators is really evaluated, and that multinationals can no longer impose their devastating pesticides.
To support all the future fights, which we wish to win against bee-killing pesticides and the dominant agricultural model, please make a donation to POLLINIS by clicking here:
Mal ein Sieg für die Meinungsfreiheit … … (The English version follows after the German in one block.)
Wir können es selbst noch kaum glauben: Nach zwei Jahren ist der Südtiroler Pestizidprozess endlich Geschichte! Denn am Freitag hat das Landesgericht Bozen unseren Mitarbeiter Karl Bär freigesprochen: Nachdem bereits im Januar der letzte der 1376 Kläger seinen Strafantrag zurückgezogen hatte, beantragte die Staatsanwaltschaft am Freitag eine Änderung der Anklage, durch die auch der noch im Raum stehende Vorwurf der Markenfälschung hinfällig wurde.
Mit dem Freispruch ist der Versuch der Südtiroler Landesregierung und der Obstlobby, Kritik am Pestizideinsatz juristisch zu unterbinden, endgültig gescheitert. Dass Südtirol ein Pestizidproblem hat, ist eine Wahrheit, die auszusprechen uns niemand verbieten kann. Damit ist das Urteil wegweisend für Menschen in ganz Europa, die sich für eine gesunde Umwelt einsetzen und dafür juristisch angegriffen werden. Erst vor zwei Wochen hat die EU-Kommission einen Vorschlag für ein weitreichendes Gesetz gegen Einschüchterungsklagen – sogenannte SLAPPs (strategic lawsuits aganst public participation) – vorgelegt. Jetzt können wir das Urteil als weiteren wichtigen Erfolg für die Meinungs- und Informationsfreiheit in Europa feiern!
Bis zu diesem Erfolg war es ein langer und mühsamer Weg, den wir nur dank der großartigen Hilfe unserer Unterstützer:innen meistern konnten. Vielen Dank an alle, die uns in den letzten Jahren mit Tatkraft, Solidarität und Geld unterstützt haben! Nur dank Ihnen war es uns möglich, die Klage so erfolgreich abzuwehren.
In unserer aktuellen Meldung erfahren Sie mehr darüber, wie es überhaupt zum Prozess gekommen war und wie wir in den letzten Jahren gegen die juristische Attacke gekämpft haben.
ENGLISH
Freedom of speech won for once …
We can hardly believe it ourselves: After two years, the South Tyrolean pesticide process is finally history! Because on Friday the Bolzano regional court acquitted our employee Karl Bär: After the last of the 1376 plaintiffs had already withdrawn their criminal complaint in January, the public prosecutor’s office on Friday applied for a change in the indictment, which also made the allegation of counterfeiting, which was still pending, null and void .
With the acquittal, the attempt by the South Tyrolean state government and the fruit lobby to legally prevent criticism of the use of pesticides has finally failed. The fact that South Tyrol has a pesticide problem is a truth that no one can forbid us to speak out. The judgment is groundbreaking for people all over Europe who are committed to a healthy environment and are being legally attacked for it. Just two weeks ago, the EU Commission presented a proposal for a far-reaching law against intimidation lawsuits – so-called SLAPPs (strategic lawsuits against public participation). Now we can celebrate the judgment as another important success for freedom of expression and information in Europe!
It was a long and arduous path to this success, which we were only able to master thanks to the great help of our supporters. Many thanks to everyone who has supported us with energy, solidarity and money over the past few years! It was only thanks to you that we were able to defend against the lawsuit so successfully.
In our current report you can find out more about how the trial came about in the first place and how we have fought against the legal attack in recent years.
… The English version follows after the German in one block.
Ausnahmeerlaubnis für gefährliches Insektengift abgewendet.
Aktuell dürfen wir uns über gute Nachrichten für Bienen und andere Insekten freuen: Das Bundesamt für Verbraucherschutz und Lebensmittelsicherheit (BVL) hat einen Antrag der Zuckerindustrie auf eine erneute Notfallzulassung für das Neonicotinoid Thiamethoxam abgelehnt. Dadurch sollte das EU-weit geltende Verbot des Insektengifts umgangen werden. Dabei sind Neonicotinoide wie Thiamethoxam aus gutem Grund verboten: Sie gelten als hoch bienengefährlich und bedrohen die biologische Vielfalt.
Jahrelang setzte sich das Umweltinstitut deshalb für ein Verbot dieser Pestizide ein. Unsere Freude war groß, als die EU-Mitgliedstaaten 2018 einen Anwendungs-Stopp für drei dieser Insektengifte im Freiland beschlossen, ein Totalverbot folgte. Doch schon kurz nach dem Verbot begannen erste Mitgliedstaaten, dieses zu umgehen und die Anwendung der Gifte über sogenannte Notfallzulassungen wieder zu ermöglichen. Gegen unseren Protest wurde auch in Deutschland für die vergangene Anbausaison eine Notfallzulassung für Thiamethoxam für die Behandlung von Zuckerrüben-Saatgut erteilt. 2021 landete das Gift so auf deutschen Äckern mit einer Gesamtfläche von 126.900 ha.
Untersuchungen von Imker:innen belegen, dass sich das Neonicotinoid – trotz aller vorgeschriebenen Vorsichtsmaßnahmen – unkontrolliert in der Umgebung der Zuckerrüben-Äcker verbreitet hat: Das Gift wurde in hohen Konzentrationen auf benachbarten Feldern und nahe angrenzender Gewässer nachgewiesen.
Dass das BVL einer erneuten Notfallzulassung für Thiamethoxam für 2022 nun eine Absage erteilt hat, lässt vorerst aufatmen. Das Amt stellte jedoch in Aussicht, in der kommenden Zuckerrüben-Saison andere Insektengifte per „Notfallzulassung“ zu erlauben. Doch Pestizid-Verbote müssen konsequent umgesetzt werden, um die Natur zu schützen. Wir fordern das BVL deshalb dazu auf, künftig generell keine Ausnahmen für verbotene Pestizide mehr zu erlauben.
We can currently look forward to good news for bees and other insects: The Federal Office for Consumer Protection and Food Safety (BVL) has rejected an application from the sugar industry for renewed emergency approval for the neonicotinoid thiamethoxam. This was intended to circumvent the EU-wide ban on this insecticide. Neonicotinoids such as thiamethoxam are banned for good reason: They are considered highly dangerous to bees and threaten biological diversity.
For years, the environmental institute therefore campaigned for a ban on these pesticides. We were very happy when the EU member states decided to stop the use of three of these insecticides outdoors in 2018, followed by a total ban. But shortly after the ban, the first member states began to circumvent it and allow the use of the poisons again via so-called emergency approvals. Against our protest, an emergency approval for thiamethoxam for the treatment of sugar beet seeds was also granted in Germany for the past growing season. In 2021, the poison landed on German fields with a total area of 126,900 ha.
Investigations by beekeepers show that the neonicotinoid – despite all the prescribed precautionary measures – spread uncontrolled in the vicinity of the sugar beet fields: The poison was detected in high concentrations in neighboring fields and nearby bodies of water.
The fact that the BVL has now rejected a renewed emergency approval for thiamethoxam for 2022 lets us breathe a sigh of relief for the time being. However, the office mentioned the prospect of allowing other insecticides in the coming sugar beet season by means of „emergency approval“. But pesticide bans must be implemented consistently in order to protect nature. We therefore call on the BVL to generally no longer allow exceptions for prohibited pesticides in the future.
Kein edles Tröpfchen: Gerichtsverfahren um Pestizide in Bordeaux-Weinen
Kurz vor Weihnachten begann in Frankreich der Prozess gegen Valérie Murat. Mehr als 20 Polizistinnen und Polizisten blockierten alle Straßen um das Gerichtsgebäude in der Kleinstadt Libourne bei Bordeaux. Die Lokalpresse berichtet über „die Totengräberin des Bordeaux-Weins“.
Ihr „Verbrechen“: In teuren Weinen von edlen Chateaux, die mit einem privaten Label für „besonderen ökologischen Mehrwert“ werben, hatte Valérie bis zu 15 verschiedene Pestizide gefunden. Viele davon greifen in das menschliche Hormonsystem ein oder können Krebs auslösen. Über diese Funde berichteten die Medien in ganz Frankreich und darüber hinaus.
450.000 Euro fordert der einflussreiche Branchenverband der Bordeaux-Weingüter (CIVB) nun von der ehrenamtlichen Umweltschützerin, um den Imageschaden wieder gut zu machen. Doch es geht um mehr als eine Laboranalyse. Valérie macht im Anbaugebiet Bordelais seit Jahren Wind gegen den hohen Pestizideinsatz in den Weingütern. Jetzt wollen ihre Gegner:innen sie finanziell und sozial fertigmachen.
Als Umweltinstitut München unterstützen wir Valérie. Nicht nur, weil die Parallelen zu unserem Fall in Südtirol erstaunlich sind. Sondern vor allem, weil solche strategischen Klagen Angriffe auf die Demokratie selbst sind. Wenn wir die Realität nicht beschreiben dürfen, können wir sie auch nicht verändern. Mehr zu Valéries Geschichte, dem Gerichtsverfahren und Pestiziden im Bordelais lesen Sie in unserer aktuellen Meldung.
[Ich frage mich, genau wie im Hinblick auf die Obstbauern in Südtirol, ob die pestizidgenerösen Bauern ihren Dreck selber trinken?]
Seit einigen Wochen ist das Nachstehende im Gange. Da war viel hin und her, deshalb habe ich erst einmal damit gewartet, darüber zu berichten.
Ursache all dieses ”Geschreis” ist, dass in 2014 die Gemeinde Mals beschlossen hat, ihre Region zur ersten pestizidfreien Region Europas zu erklären. Das Umweltinstitut München hat sich lobend darüber geäussert und dann auch noch den gewöhnlichen Pestizidverbrauch in Südtirol untersucht und veröffentlicht … kein schönes Bild. Gleichzeitig entstand ein Buch und ein Film mit dem Titel “Das Wunder von Mals”.
Der zuständige Mitarbeiter des Umweltinstituts und der Autor des Buches/Films wurden in der Folge vom Landesrat für Landwirtschaft der Autonomen Provinz Bozen in Südtirol und ca. 1000 LandwirtInnen persönlich verklagt (wegen Geschäftsschädigung, Verleumdung konnten sie nicht so gut anführen, denn die veröffentlichten Werte waren ja korrekt). Dies kurz zur Einleitung, unten könnt ihr lesen, wie es weiterging.
Foto: Umweltinstitut München
Schuler bricht sein „Tiroler Wort“
Wegen einer Kampagne gegen den hohen Pestizideinsatz im Südtiroler Apfelanbau hatte uns Landesrat Arnold Schuler 2017 zusammen mit mehr als 1000 LandwirtInnen angezeigt. Mit unserer Aktion hätten wir die Südtiroler Landwirtschaft verleumdet, so der Vorwurf. Mit dieser Begründung wurden außer uns auch der Autor und Filmemacher Alexander Schiebel und sein Verleger angezeigt.
Nachdem er für diesen Angriff auf die Meinungsfreiheit viel Kritik einstecken musste, kündigte Schuler zum Prozessauftakt gegen mich vor zwei Wochen an, dass alle Anzeigen zurückgezogen werden. In der Presse gab er sein „Tiroler Wort“. Doch am Mittwoch folgte der Rückzug vom Rückzug: Er und die beteiligten Obstbauern und Obstbäuerinnen verlangen weiterhin, dass wir strafrechtlich verfolgt werden. Als Begründung für seinen Wortbruch führt er an, dass wir in den vergangenen Wochen nicht brav genug waren. Wir hatten weiterhin öffentlich über den Prozess und die Pestizide in Südtirol gesprochen. Wir hatten angekündigt, die Spritzbücher von mehr als 1000 südtiroler Obstbetrieben auszuwerten und zu veröffentlichen, die wir uns im Verfahren erstritten hatten.
Mit dieser Begründung bestätigt Schuler, dass es der Landesregierung und der Agrarlobby von Anfang an darum ging, uns zum Schweigen zu bringen. Doch wir lassen uns nicht einschüchtern! Über Umweltbelastungen unabhängig aufzuklären, war nach Tschernobyl der Gründungsimpuls für das Umweltinstitut. Es ist bis heute Satzungszweck und unsere tiefe Überzeugung, dass Daten über Gefahren für Mensch und Natur in die Öffentlichkeit gehören. Dafür gehen wir zur Not auch durch ein jahrelanges Gerichtsverfahren.
Der nächste Termin ist am 22. Oktober 2020. Dann entscheidet sich, ob auch Jacob Radloff, der Verleger des Buchs „Das Wunder von Mals“ von Alexander Schiebel, sowie weitere Personen aus dem Umweltinstitut in Bozen vor Gericht müssen. Gegen die Einstellung dieser Verfahren durch die Staatsanwaltschaft in Bozen hatten Schuler und etliche LandwirtInnen Widerspruch eingelegt.
Wir stellen uns nun auf einen Gerichtsmarathon ein, der uns sicherlich noch viel Energie und Kraft kosten wird. Doch dank der großen Solidarität, die wir in den letzten Wochen erlebt haben, sind wir zuversichtlich, auch diese Herausforderung zu überstehen.
Hier geht es zur Aktionsseite. Wenn ihr dort „Hintergrund“ anklickt, findet ihr den Bericht über die Pestizidsituation beim südtiroler Apfelanbau.
Noch vor wenigen Jahren wäre es undenkbar gewesen: Die EU-Kommission will den Einsatz von Pestiziden bis 2030 halbieren! Bisher schreckte Brüssel lange vor konkreten Reduktionszielen zurück – zu groß war der Einfluss der mächtigen Agrarlobby.
Doch langsam wendet sich das Blatt: Der Druck unserer Europäischen Bürgerinitiative (EBI) „Bienen und Bauern retten“ zeigt Wirkung. Das zeigt auch die Antwort von Kommissions-Vizepräsident Frans Timmermans auf unseren Brief, in dem wir ein EU-weites Komplettverbot von Pestiziden fordern: Unsere Forderungen seien bei der Ausgestaltung der nun vorgestellten Biodiversitäts- und „Farm-to-Fork“-Strategien berücksichtigt worden.
Jetzt dürfen wir auf keinen Fall lockerlassen! Denn noch ist die Halbierung des Pestizideinsatzes in kein Gesetz gegossen, sondern nur ein Vorschlag. Dabei wäre so viel mehr nötig: Auch die Hälfte an Gift ist immer noch zu viel Gift für uns und unsere Umwelt. Wir brauchen den vollständigen Ausstieg aus der Ackerchemie!
Helfen Sie uns jetzt, eine Million Unterschriften für die EBI zu erreichen. Covid-19 hat unserer Unterschriftensammlung auf den Straßen und Plätzen Europas einen schweren Schlag versetzt. Deshalb kommt es jetzt noch mehr als zuvor darauf an, dass wir online so viele Menschen wie möglich mobilisieren.
Während die Bundesregierung beim Artenschutz weiterhin auf der Bremse steht, machen Erfolgsbeispiele auf Landesebene Mut: Schon in drei Bundesländern konnten engagierte BürgerInnen mit direkter Demokratie die Politik zum Handeln bewegen.
Mehr als 1,7 Millionen Menschen gingen Anfang des Jahres in Bayern in die Rathäuser, um das Volksbegehren „Rettet die Bienen!“ zu unterstützen. Inzwischen ist der Vorschlag des Volksbegehrens vom Landtag beschlossen worden. Nach diesem großen Erfolg starteten in Baden-Württemberg und Brandenburg ähnliche Initiativen:
In Brandenburg haben es Teile der Forderungen jetzt in den Koalitionsvertrag geschafft. Da wichtige Verbesserungen wie ein Verbot von Ackergiften in Naturschutzgebieten jedoch fehlen, werden weiterhin Unterschriften für eine Volksabstimmung gesammelt.
Auch in Baden-Württemberg hat das Volksbegehren schon eine Menge Bewegung in die Agrarpolitik gebracht: Dort bietet die Landesregierung den InitiatorInnen nun einen Dialog an und präsentierte eigene Eckpunkte für ein Artenschutzgesetz. Wie wir die Vorschläge der Regierung bewerten und unter welchen Bedingungen das Bündnis das Dialogangebot annimmt, lesen Sie in unserer aktuellen Meldung.
Jetzt wollen wir den nächsten Schritt gehen und die regionalen Bewegungen für mehr Artenvielfalt nicht nur in Deutschland, sondern europaweit zusammenbringen: In wenigen Wochen starten wir mit der Unterschriftensammlung für eine offizielle Europäische Bürgerinitiative. Unser Ziel: Eine europäische Agrarwende zur Rettung der Artenvielfalt und der bäuerlichen Landwirtschaft. Als Newsletter-LeserIn informieren wir Sie hier als erste, wenn es losgeht und wie Sie mitmachen können!
[Man sollte doch eigentlich meinen, dass Ackergifte und Naturschutzgebiete einander logischischerweise ausschliessen … ???]
Pestizidkontrolle jetzt!
Mehr als 72.000 Menschen haben für die Petition „Pestizidkontrolle jetzt!“ unterschrieben. Nun fand die dazugehörige Bundestagsanhörung von Initiator und Imkermeister Thomas Radetzki statt. Welche Botschaft ihm bei seinem Vortrag besonders wichtig war und wie sich die Bundesregierung in der anschließenden Diskussion zum Zulassungsverfahren von Pestiziden positionierte, erzählt er im Interview.
Dies ist wieder so ein Fall, wo Politiker positive Bürgerinitiativen gezielt zu stoppen versuchen, hier sogar mit einem extra dazu geschneiderten, neuen Gesetz, was wirklich schon diktatorisch wirkt. Lasst die Leute doch so leben, wie sie wollen, sie schaden doch niemandem … im Gegenteil! (Naja, sie schaden vielleicht der Pestizidindustrie, was ich persönlich als positiv ansehe! Es würde mich wirklich mal interessieren, welche Vorteile die Südtiroler Landesregierung von diesem Verbot hat.)
Vor fünf Jahren schrieben die Bürgerinnen und Bürger im Südtiroler Dorf Mals Geschichte. Denn damals beschlossen sie mit großer Mehrheit in einem Bürgerentscheid, die erste pestizidfreie Gemeinde Europas zu werden. Daraufhin erließ der Malser Gemeinderat eine Verordnung, die das Ausbringen von Pestiziden in dem Ort praktisch untersagt.
Das Verwaltungsgericht Bozen will diesen Traum nun platzen lassen und setzte die Verordnung vergangene Woche außer Kraft. Doch die Malserinnen und Malser lassen sich nicht unterkriegen: Vor dem Staatsrat in Rom, dem obersten Verwaltungsgericht Italiens, wollen sie das Urteil aus Bozen anfechten.
In ihrem Urteil verfügen die Bozener RichterInnen, dass die Malser Pestizidverordnung rechtswidrig sei, da die Gemeinde damit ihre Kompetenzen überschritten habe. Dabei bezieht sich das Gericht unter anderem auf ein Landesgesetz aus dem Jahr 2016, das just an dem Tag erlassen wurde, als das Pestizid-Verbot in Mals in Kraft trat. Dieses Gesetz wurde von der Südtiroler Landesregierung gezielt entworfen, um weitere Gemeinden daran zu hindern, dem Beispiel von Mals zu folgen und Maßnahmen gegen das Ausbringen von Pestiziden zu ergreifen.
nach der Europawahl herrscht in der Regierungskoalition Nervosität. Sowohl Union als auch SPD haben massive Stimmenverluste hinnehmen müssen. Umfragen zeigen, dass einer der Hauptgründe dafür der Stillstand in der Klimapolitik ist. So sind einer aktuellen Studie zufolge nur drei Prozent der Befragten der Ansicht, die Bundesregierung tue genug für den Umwelt- und Klimaschutz.
Um die Klimakatastrophe abzuwenden, müssen die Emissionen von Treibhausgasen schon in den nächsten Jahren drastisch sinken. Doch die Kehrtwende beim Klimaschutz lässt weiter auf sich warten: Bei der ersten Sitzung des Klimakabinetts nach der Wahl wurden wieder keine Ergebnisse erzielt.
Von 21. bis 23. Juni plant ein breites Bündnis aus Umweltorganisationen, Bürgerinitiativen und der „Fridays for Future“-Bewegung Proteste im Rheinischen Kohlerevier. Neben einem internationalen Klimastreik in Aachen und einer Großdemonstration am Tagebau Garzweiler planen AktivistInnen der Kampagne „Ende Gelände“, die Kohlebagger zu blockieren.
Agrarministerin Julia Klöckner will sich auf EU-Ebene für ein Verbot des Insektengifts Thiacloprid einsetzen. Dazu hatten wir sie in einem Brief aufgefordert. Der Pestizidwirkstoff ist nicht nur besonders gefährlich für Bienen und andere Insekten. Er kann unter anderem auch ungeborenen Kindern schaden und ist vermutlich krebserregend. Höchste Zeit also, den Einsatz von Thiacloprid zu stoppen!
"I have enough time to rest, but I don't have a minute to waste". Come and catch me with your wise words and we will have some fun with our words of wisdom.
How to cook "with visual instructions" "using familiar ingredients from your local grocery stores" healthy, traditional and delicious Japanese dishes!!
"Es tanzen tausend Gedanken, im Mondschein, wollen frei sein. Eine leise Melodie, aus Blütenstaub formt eine Sinfonie.[...]" (Die Kraft der Feenmelodie)